Une SCOP c’est un éventail de talents et de personnalités qui œuvrent ensemble à la mise en musique d’une stratégie d’entreprise collaborative.

C’est la diversité des profils des associés qui en fait sa force, on y croise des parcours très différents, comme celui de Bastien Lemeunier, fraîchement nommé au poste de Directeur Artistique, qui nous raconte son histoire…

Bastien vient de piquer le skateboard de l’éléphant, qui n’est pas content.

Peux-tu te présenter rapidement ?

“Moi, c’est Bastien. Je suis ardéchois, et fier de l’être 🙂 Depuis peu, j’occupe le poste de directeur artistique chez Mezcalito où je travaille depuis déjà 7 ans. J’ai d’abord commencé en tant que designer et intégrateur au sein du pôle Design. J’aime la bière, les pâtes (mais surtout pas trop cuites), les soirées techno et le black metal.”

Qu’est-ce qui t’a motivé à rejoindre l’agence ?

“Au tout début je cherchais un stage de 1ère année de DUT. Je savais que je voulais faire du web. J’ai cherché des agences sur Grenoble et le site de Mezcalito m’a séduit par son univers visuel, la présentation de ses activités mais aussi et surtout ses valeurs humaines.”

Un fan de Black Metal se devait d’aller implorer les Dieux Anciens en Norvège.

Pour toi c’est quoi une SCOP ?

“Pour moi dans une SCOP il y a tout d’abord un esprit d’horizontalité: il n’y a pas de “grand chef”, pas de système pyramidal. 

Les choix stratégiques sont faits de manière collégiale entre associés. Ce qui me plaît, c’est que peu importe que tu sois là depuis dix ans ou six mois : ton avis est pris en compte. 

On forme un collectif dans lequel tout le monde souhaite aller dans la même direction.

Pendant les réunions des associés, on peut librement aborder des sujets, et on converge toujours vers un compromis qui satisfait la majorité.”

C’est bien joli, mais ton morceau préféré, c’est quoi ?

“One” de Metallica. (ndr : on vous met la version avec de la basse, et on tire la langue à Lars Ulrich).

Travailler chez Mezcalito, ça a changé quoi pour toi ?

“Depuis le début de ma carrière, je ne connais que Mezcalito puisque j’y ai effectué mon stage, mon alternance et aujourd’hui mon CDI.
Mais je suis là depuis 7 ans ! Donc c’est qu’il y a une ambiance, un “truc”, quelque chose qui fait que je m’y sens bien. 

On m’a permis d’évoluer même lorsque j’ai décidé de partir à Nantes pour m’y installer. Je ne voulais pas quitter l’agence et on m’a offert l’opportunité de travailler en “full-remote” bien avant la période de pandémie. Pour moi, c’est une vraie ouverture d’esprit et de confiance mutuelle.”

Le bureau “full-remote” de Bastien.

Es-tu déjà allé de Nantes à Montaigu ?

Euh non c’est quoi la blague ?!

Ça (désolé) :
(Âmes sensibles s’abstenir, amateurs de mélodies limitées, et de curiosités historiques mêlant Renaissance et duchesse tombée dans un étang, n’hésitez pas).

Qu’est-ce qui t’a poussé à devenir associé ?

“J’étais assez jeune quand je suis devenu associé puisque j’ai ce statut depuis déjà 5 ans. C’est l’envie de participer au choix stratégique de l’entreprise et de donner mon avis qui a motivé mon choix.”

Quelque part dans la Matrice.

Un pronostic pour l’Euro 2021 ?

France-Italie en finale, et on leur met un bon vieux 3-1.

Concrètement, ça change quoi pour toi d’être associé ?

“Au quotidien je trouve qu’on a une implication plus réelle car on pense au bien de la société en permanence. Cela apporte également une vision plus business et plus globale des enjeux.”

Pêche à la ligne après le travail en ligne. On apprécie les chaussettes de qualité.

Quelles valeurs définissent le travail au quotidien chez Mezcalito ?

“ Il y règne beaucoup de bienveillance. On y aime le travail bien fait qui se construit dans un esprit de camaraderie, dans le respect mutuel, et dans la bonne humeur.”

D’après toi, quel impact cela peut avoir sur les clients et les partenaires ?

“Je pense que les clients qui sont accompagnés par l’agence partagent les mêmes valeurs humaines. 

C’est un choix d’une relation au long cours dans laquelle le client se sentira toujours valorisé et conseillé. C’est le cas de Sport 2000, L’Entrepôt du Bricolage ou encore l’ESRF qui au fil du temps continuent à nous confier de nouveaux projets.”

Merci Bastien

De rien.

Noirmoutiers, où Bastien aime se ressourcer et dessiner sur le sable. Déformation professionnelle.